ÉTUDE DE CAS : Les fonctionnalités intelligentes et la polyvalence d’imagerie du CS 9600 offrent une plus grande confiance

Le Dr Antoine Diss travaille avec des dentistes au sein de l’association qu’il a formée en 2006 et qui s’appelle Génération Implant. Dans son cabinet, il forme des dentistes en implantologie, parodontologie, prothèses implantaires, obturations osseuses, gestion des extractions, obturations sinusales et plus encore.

Avant d’implémenter la technologie de calcul par faisceau conique (CBCT) dans sa pratique en 2010, le Dr Diss envoyait ses patients implantaires chez un radiologue pour imagerie, ce qui nécessitait toujours un rendez-vous supplémentaire. Une fois qu’il a ajouté son propre système à son flux de travail, il est devenu indispensable pour de nombreuses raisons, dont la moindre n’était pas le gain de temps. En plus d’éliminer le rendez-vous supplémentaire pour l’imagerie, le Dr Diss a déclaré: « Pendant une chirurgie, ou après, nous pouvons produire des images pour vérification, le tout très rapidement. De plus, cette imagerie m’a permis d’être plus précis dans mes diagnostics. »

La capacité de gagner du temps est quelque chose que le Dr Diss apprécie. C’est aussi quelque chose qu’il cherche à réaliser tout au long de son flux de travail. La technologie – et la volonté de l’adopter – jouent un rôle clé dans son succès.

Qualité d’image et polyvalence

Le CS 9600 peut répondre aux besoins d’imagerie du Dr Diss en matière d’implants et de chirurgie buccale – ainsi qu’à ceux des médecins avec lesquels il travaille – car il dispose de 14 options de champ de vision allant de 4 cm x 4 cm à 16 cm x 17 cm. Le Dr Diss a amélioré son système du modèle standard de 90 kV à 120 kV. Il apprécie l’impact de la mise à niveau : elle améliore la qualité de l’image sans augmenter la dose. « Nous disposons maintenant d’un système qui est vraiment capable de s’adapter aux différents flux de travail dont nous disposons. Il a clairement porté l’imagerie CBCT à un niveau supérieur », a déclaré le Dr Diss. « En endodontie, par exemple, vous pouvez prendre une image complète de l’arche (taille de volume de 10 cm x 10 cm) à une résolution de 75 microns, ce qui est très important. Vous pouvez également cibler une seule dent sur la voûte plantaire. Les images sont également très bonnes pour l’implantologie. »

La réduction des artefacts métalliques (MAR) joue également un rôle dans l’amélioration de la qualité de l’image. Le Dr Diss a déclaré: « Sans CS MAR [option logicielle brevetée de Carestream Dental sur le CS 9600], nous ne pourrions pas vraiment gérer les artefacts dans nos images. Nous n’avions qu’à travailler avec eux. CS MAR fonctionne comme une loupe qui vous permet de passer à travers une image et de la voir avec et sans le filtre anti-artefact. Vous pouvez comparer l’image native à l’image avec l’algorithme appliqué et analyser très facilement les deux.

Les champs de vision multiples étaient particulièrement bénéfiques pour un cas qui a été référé au Dr Diss où il y avait une défaillance complète du maxillaire. Le patient était édenté et presque aucun os n’était présent. Le Dr Diss a pu la traiter avec un système appelé quad zygoma. Pour positionner quatre implants zygomatiques, le Dr Diss avait besoin à la fois d’images localisées précises et d’images plus grandes, car les zygomes sont situés sous les orbites. Certains risques anatomiques lui rendaient impératif de voir les limites de l’orbite. « Je sais qu’avec mon système d’imagerie précédent, qui avait un champ de vision plus petit, mon diagnostic n’aurait pas pu être aussi précis. Mon explication au patient n’aurait pas été aussi complète et je n’aurais pas eu des conditions aussi idéales pour effectuer la chirurgie. »

À l’avenir, le Dr Diss pourrait élargir les services d’orthodontie qu’il offre actuellement. Le CS 9600 peut s’adapter à cette extension, grâce à l’étendue des capacités d’imagerie qu’il offre. « Nous pourrions envisager d’offrir de l’orthodontie pour adultes avec des gouttières, étant donné que nous avons un orthodontiste qui travaille avec nous en chirurgie », a déclaré le Dr Diss. « Nous envisageons de combiner des analyses des bases osseuses avec des analyses esthétiques du Face Scan et d’être en mesure de proposer des solutions orthodontiques thérapeutiques pour les patients. »

Positionnement facile et stable du patient

Le système d’imagerie précédent du Dr Diss n’avait pas de siège intégré, et quand il a vu pour la première fois le CS 9600, qui a une option de siège, il n’a pas immédiatement envisagé l’avantage potentiel. Puis c’est devenu clair. « D’une part, le siège assure la stabilité du patient et réduit les mouvements pendant l’examen. En conséquence, les images sont plus claires », a déclaré le Dr Diss. « D’autre part, le siège facilite le processus de positionnement du patient. Nous effectuons maintenant presque tous nos examens avec le patient assis. »

Le CS 9600 facilite le positionnement correct du patient en guidant également l’utilisateur via plusieurs fonctionnalités intelligentes. « Le système est conçu avec un haut degré d’infaillibilité de sorte que lorsque vous suivez le protocole, vous évitez les erreurs, même pour les assistants débutants. Le CS 9600 vous guide également dans l’utilisation des supports spécifiques à chaque modalité. Dans le Scan du visage, comme pour tout autre examen, si vous ne positionnez pas le support correct sur la machine, un voyant rouge vous avertit que vous utilisez le mauvais accessoire », a déclaré le Dr Diss.

Imagerie correcte pour la première fois

Le CS 9600 dispose d’une fonction de pré-prise de vue qui permet d’éviter une mauvaise première image. « Vous pouvez définir une vue de reconnaissance sur le scanner pour mieux positionner votre patient », a déclaré le Dr Diss. « Il existe également un système de caméras vidéo qui vous aide à déterminer l’avion de Francfort pour les examens panoramiques. Une fonctionnalité similaire est disponible pour positionner le champ de vision pour les examens CBCT. Par exemple, si vous souhaitez prendre une image CBCT positionnée vers le sinus, vous pouvez déplacer la croix sur le visage du patient via l’écran tactile et l’unité se positionne automatiquement vers la zone droite.

« Il y a une autre caractéristique remarquable qui distingue le CS 9600 : sa capacité à faire des recommandations intelligentes », a déclaré le Dr Diss. Après un pré-tournage, le système détermine la forme de l’arche et propose les réglages. C’est pratiquement semi-automatique. Nous parvenons à générer des images hautement reproductibles et de très haute qualité. Ainsi, que ce soit moi ou un assistant, le système nous permet à tous les deux d’obtenir la même qualité d’imagerie. »

Logiciel puissant, mais convivial, qui accélère le flux de travail

Dr. Diss trouve le logiciel du système très facile à utiliser. En même temps, il est également très puissant. L’utilisateur peut choisir d’utiliser les fonctions de visualisation les plus élémentaires. « Mais si vous voulez tirer le meilleur parti du système, il existe de nombreux outils parmi lesquels choisir », explique le Dr Diss.

Le logiciel est ouvert, ce qui signifie que le Dr Diss peut l’utiliser avec la plupart des logiciels de planification d’implants. Cela facilite son flux de travail très organisé. « Je peux consulter les patients au sujet des implants et préparer un plan de traitement. Je peux les envoyer à l’imagerie, ce qui me permet de leur fournir un coût précis. Cela valide également mon plan de traitement. Je peux ensuite utiliser le logiciel pour placer virtuellement les implants directement devant les patients afin de les éduquer sur la procédure. S’ils acceptent le plan, mon assistant envoie le plan avec une empreinte numérique (fichier STL) – si nécessaire – à partir du scanner intra-oral CS 3600. Je peux faire tout cela via la plate-forme logicielle unique de Carestream Dental, ce qui rend le processus extrêmement simple et efficace. Il établit la norme pour ce type de logiciel. Une fois que j’ai terminé la planification de mon implant via le module prothétique de planification d’implant, j’exporte le fichier DICOM directement dans Blue Sky Plan, puis je l’envoie au laboratoire, sans avoir à revalider la position de mon implant », a déclaré le Dr Diss.

Le Dr Diss a déclaré que le logiciel est également très fluide en ce sens qu’il peut accéder aux images du CS 9600 et du CS 3600 sur tous ses postes de travail. Il déclare : « Les images du CS 9600 sont reproductibles. Il n’y a pas d’erreurs car il s’agit d’une machine fiable, qui s’intègre à mes autres solutions de machines d’imagerie de Carestream Dental. Les examens sont très rapides.

Le Dr Diss envisage la possibilité d’effectuer un jour 10 à 15 procédures par semaine, dont 80% sont des implants avec des guides chirurgicaux. « Grâce au logiciel, qui nous fait gagner beaucoup de temps, nous pouvons imaginer que cela se passe avec une réelle précision pour chaque patient. Ce n’est plus seulement un outil de diagnostic. Il devient un outil de production qui nous aide à fournir un meilleur traitement à nos patients », explique le Dr Diss.

Confiance et confiance

Permettre aux patients de se sentir à l’aise avec un diagnostic et un plan de traitement est essentiel à l’acceptation du traitement. Il est difficile pour les patients de comprendre pleinement leur situation clinique à partir d’une seule explication. Le Dr Diss a déclaré: « Vous pouvez leur parler d’infection, par exemple, et que la dent ne peut pas être sauvée parce qu’il y a une perte osseuse. Si vous pouvez joindre une image aux mots, immédiatement le message est beaucoup plus clair et vous gagnez leur confiance. Les patients ne s’engageront jamais dans une intervention chirurgicale sans faire confiance au chirurgien. »

En plus d’inspirer confiance aux patients, les images du CS 9600 ont le même effet sur le Dr Diss. « Le système m’apporte du réconfort dans mon travail », a déclaré le Dr Diss.

Impact environnemental et changement de vies

Comme tant de gens aujourd’hui, l’environnement est une priorité pour le Dr Diss. Il a récemment commencé à remplacer les gobelets en plastique dans sa pratique par de petits verres, qui sont lavés, décontaminés et stérilisés. C’est plus de travail, mais c’est moins de gaspillage.

La numérisation joue également un rôle dans le processus zéro déchet. Le Dr Diss utilise moins de plâtre, plus moins de matériaux pour les impressions et les coursiers pour les cas impliquant son prothésiste. « Tout cela contribue à la réduction de notre empreinte carbone », explique le Dr Diss.

Le passage au numérique a également eu un impact sur la vie du Dr Diss et de ses patients. Le Dr Diss a déclaré: « Nous avons le devoir de traiter nos patients selon des données médicalement prouvées. Les données évoluent, cependant, et le dentiste aussi. Il faut beaucoup de temps et d’énergie pour changer votre façon de faire les choses et apprendre de nouvelles technologies. Au début, on a vraiment l’impression de perdre du temps; mais c’est un investissement qui finit par rapporter. Je ne travaille plus comme il y a trois ou quatre ans. Je suis plus rapide et plus fiable. J’apprécie la contribution de Carestream Dental dans le développement de produits de qualité authentique. Ils me permettent de jouer un rôle dans le changement de vie de mes patients. De plus, je peux consacrer le temps que j’économise à mieux communiquer avec mes employés, et nous pouvons tous consacrer un peu plus de temps à nos familles. »

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À propos du Dr Antoine Diss

Le Dr Diss a étudié à l’université dentaire de Nancy, en France. Il est ensuite devenu assistant hospitalier universitaire au département de parodontologie de l’Université de Nice, où il a terminé sa thèse de doctorat, son DEA [diplôme d’études supérieures] et sa thèse de sciences. Au lieu de se lancer dans une carrière hospitalière universitaire, il a choisi de se lancer en pratique privée à Nice, spécialisé en implantologie et en parodontologie. C’est à cette époque qu’il fonde son association de formation, Génération Implant. Le Dr Diss se spécialise actuellement en implantologie, en chirurgie implantaire guidée, en gestion des tissus mous, en augmentation osseuse et en chirurgie buccale.


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